This
list covers the armies of the Greek city states in mainland Greece
and elsewhere from their introduction of the hoplite until that
of good supporting troops. Greek tradition ascribed the introduction
of the hoplite system to Pheidon, tyrant of Argos 680-650 BC, who
used it to crushingly defeat Sparta in 669. It had spread throughout
the Greek world by 650 BC. Every Greek (non-Thracian) nationality
included in the army except that of the C-in-C must contribute a
junior general who commands all its troops. An army including Spartans
must have a Spartan C-in-C. A junior general, other than a Spartan,
of the C-in-C's nationality is assumed to be sufficiently disloyal
to qualify as an ally rather than a subordinate. Spartan citizens
are the hoplite class of the city; their perioikoi are citizens
of the other cities of Lakonia. They are classed as Reg Sp (O) because
they were used to fighting alongside Spartans under Spartan command.
Spartan commands cannot include any cavalry, but can include Irr
(O) hoplites from Tegea and other similarly independent but closely
allied Peloponnesian cities. The allied army at Plataea should be
represented by a Spartan army with an Athenian allied force, including
Athenian archers, and another 1 or 2 Greek allied commands (not
including any Spartans, Athenians or Thebans) to represent the minor
contingents. Italiots (Italian Greeks) or Siciliots (Sicilian Greeks)
cannot be allied with mainland or Asiatic Greeks. Ps (I) in Sicilian
armies from 480 BC can support cavalry. Athenian Ps (O) can support
Athenian hoplites. Minima marked * apply only if any troops so marked
are used. The 7 helots armed as psiloi to each Spartan said by Herodotos
to have been at Plataia had no detectable effect on the battle and
their loss would not have affected Spartan morale other than as
a temporary servant problem, so are best represented by Hd (O).
Although Thucydides says that the first trieres/trireme built in
Greece was constructed at Corinth around 650 BC, the 2-bank pentekonter
remained the standard Greek warship as late as the battle of Alalia
in 540 BC. (DBM Book 1 Army List n° 52)
Grecs hoplitiques
: cette armée est composée presque exclusivement
d'un seul type de troupe, des hoplites Sp, qui peuvent être
déclinés dans plusieurs variantes : régulier
ou irrégulier, classe (I), (O) ou (S). Cette infanterie,
si elle est peu mobile, offre un excellent rapport budget-efficacité
lui permettant de faire face avec succès en combat frontal
à pratiquement n'importe quel type de troupe, notamment montées.
Les modifications introduites dans la version 3.0 de DBM ont, de
plus, sensiblement amélioré l'efficacité de
ce type d'armée à base d'infanterie lourde en augmentant
la profondeur de la zone de déploiement et en limitant les
possibilités d'embuscade, ce qui permet d'arriver plus facilement
au contact d'un adversaire plus mobile.
Plusieurs variantes
sont possibles avec cette liste, au premier rang desquelles l'option
spartiate qui offre plusieurs caractéristiques intéressantes
: des hoplites (dont une partie de qualité (S)) et un commandement
entièrement régulier qui améliorent sensiblement
la mobilité et la souplesse d'emploi de l'armée, et
la possibilité de prendre un nombre substantiel d'hilotes
Hd(O) pour augmenter les seuils de démoralisation. Défauts
de cette variante, l'absence complète de cavalerie et trop
peu de troupes légères de qualité. Autre option
intéressante avec cette liste, l'armée athénienne
: ici les hoplites sont Irr Sp(O) et les généraux
alliés. Cela rend cette armée moins mobile comparée
à la variante spartiate, mais le nombre d'hoplites alignés
est nettement plus élevé. De plus, les Athéniens
disposent de troupes légères plus nombreuses dont
un corps entier de cavalerie légère LH(O) théssalienne,
et des archers Ps(O) qui peuvent soutenir les hoplites, ce qui les
rend plus polyvalents.
Quelle que soit la
variante, les émules de Miltiade et Léonidas doivent
néanmoins faire attention à un certain nombre de points.
Tout d'abord, il faut éviter à tout prix le combat
warband/hoplites, les probabilités garantissent pratiquement
la défaite de ces derniers, sauf circonstances exceptionnelles
(avantage du terrain, débords, chance...) ! Ensuite, il faut
veiller à bien couvrir les flancs de l'armée, en utilisant
de préférence le terrain compte tenu de la faiblesse
de cette armée en cavalerie. Une solution est d'avoir une
voie navigable (WW) sur un flanc; il est donc fortement recommandé
de prendre des bateaux. Dernier point, il faut jouer "agressif"
pour amener les hoplites au contact de l'adversaire le plus rapidement
possible. Faute de quoi, même si il est toujours long et difficile
d'enfoncer une ligne d'hoplites, un adversaire plus mobile y parviendra
en la fixant avec des troupes légères et en concentrant
ses attaques en un point de celle-ci.
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